Annulation de l'épreuve de lettres, suite

N'opposons surtout pas les khâgneux et les khâgnes entre eux.
Certes, l'alerte a eu lieu à Paris, certes les conditions matérielles de certains khâgneux de région qui doivent se déplacer pour aller passer les épreuves est un dommage de plus par rapport à leurs camarades parisiens... dont certains composent un peu loin aussi, n'oublions pas. Les deux heures passées dans la rue à attendre la fin de l'alerte n'a pas été pour eux une partie de plaisir.
Et personne ne se retrouve avantagé d'avoir ainsi repassé l'épreuve.
La direction de l'ENS-LSH (qui n'est pas une Ecole parisienne!)s'est elle aussi trouvée en situation inconfortable.
Un vrai souci pour nous tous, donc.

La meilleure façon de donner tort aux mauvais plaisants n'est-elle pas d'avancer maintenant vers la suite des épreuves, aussi sereinement que possible?